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En choisissant le nom d’Aden, nous avons voulu évoquer à la fois l’aventure de Rimbaud et la conscience critique aiguë de Nizan. La mention de l’Orient fabuleux symbolise la nécessité de sortir de l’Occident moderne et de s’ouvrir aux autres cultures.

 

Le titre de la collection « Le Cercle des poètes disparus », emprunté à un film dont la figure dominante est celle de Walt Whitman, traduit la volonté de donner toute sa dimension à l’aventure poétique de poètes de tous les pays et de tous les temps, qui les a arrachés aux frontières étroites de leur existence personnelle pour explorer l’inconnu et nous faire entrevoir la « vraie vie ».

C’est un même souci de servir la poésie qui se lira dans les ouvrages des deux nouvelles collections,  « Tombeau », hommage collectif aux plus grands de la littérature, et « Lettres du monde », consacrée à la littérature étrangère. En marge de ces deux collections, Aden publie aussi des recueils de poèmes, des romans et des essais, qui manifestent le même esprit et la même exigence, et essaient d’allier l’imagination poétique à la conscience critique. 

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Les éditions Aden dans la presse

[...] il convient de saluer à sa juste valeur l’entreprise des Éditions Aden qui, depuis plusieurs années maintenant, veillent, à travers la collection « Le Cercle des Poètes Disparus », à célébrer les grands créateurs et, tout simplement, la poésie, celle du monde entier (par delà les frontières) en ce qu’elle a de meilleur, de plus riche, et, surtout, de plus actuel pour le monde contemporain, ce monde trop souvent entraîné par des forces contraires à l’imagination, à la beauté et à l’inspiration. Un coup d’oeil rapide à la liste des ouvrages déjà nombreux à ce jour publiés suffit pour faire apparaître la nécessité de cette collection qui occupe aujourd’hui une place à part et de plus en plus reconnue en France aux yeux des amateurs de littérature. Ce n’est pas son moindre mérite que de faire oeuvre de « passeur », de nous faire voyager d’une culture à une autre, mais aussi (chose essentielle) d’une période à une autre, tant il est vrai que les écritures du passé, avec leurs modes d’expression et les conventions de leurs époques respectives, ne cessent d’agir sur les esprits et les sensibilités du présent pour les fertiliser.

Denis Bonnecase,

Revue Etudes anglaises, 2009

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